En France, on trouve une grande hausse de la violence scolaire. Les incidents éclatent souvent soit entre étudiants, soit entre étudiants et enseignants. Les établissements scolaires dans les zones sensibles sont les plus affectés par ce phénomène. Donc, Pourrait-on dire que les racines de la violence scolaires se trouvent uniquement dans les quartiers sensibles? Pour traiter de cette question, nous aborderons, tout d’abord les raisons pour lesquelles cette violence existe surtout dans ces quartiers. Puis, nous analyserons les autres raisons possibles.
Premièrement, il est vrai que la violence existe dans les quartiers sensibles. Les habitants de ces zones sont les marginaux. Ils font face à la marginalisation même dans les établissements scolaires par leurs camarades et parfois, même par leurs enseignants. En conséquence, Ce problème de socialisation scolaire incite un mini-conflit qui ultérieurement devient si grand, que cela devient une question d’honneur. De plus, les conflits entre les quartiers parfois envahissent dans ces établissements. Les jeunes veulent régler leurs comptes avec leurs ennemis de quartier.
Deuxièmement, la carte scolaire ne permet pas la démocratisation des institutions scolaires et cela s’oppose du fait que le gouvernement français est une démocratie. De plus, cela arrive que l’enseignant ait choisi le métier pour le rémunération et pas par la vocation. Donc, l’étudiant révolte pour montrer son mécontentement par rapport à système d’éducation et le gouvernement.
Pour conclure, il faut admettre que les zones sensibles sont une des racines de cette violence. Toutefois, c’est la société, le gouvernement et les instituions scolaires qui font de la discrimination et cela provoque cette forme de révolte. Aussi, les marginaux sont les «néo-français». Donc, est-ce qu’ils n’ont pas le droit d’avoir le même statut social comme les aborigènes ?