Friday, September 18, 2009

Pourrait-on dire que les racines de la violence scolaires se trouvent uniquement dans les quartiers sensibles?

En France, on trouve une grande hausse de la violence scolaire. Les incidents éclatent souvent soit entre étudiants, soit entre étudiants et enseignants. Les établissements scolaires dans les zones sensibles sont les plus affectés par ce phénomène. Donc, Pourrait-on dire que les racines de la violence scolaires se trouvent uniquement dans les quartiers sensibles? Pour traiter de cette question, nous aborderons, tout d’abord les raisons pour lesquelles cette violence existe surtout dans ces quartiers. Puis, nous analyserons les autres raisons possibles.

Premièrement, il est vrai que la violence existe dans les quartiers sensibles. Les habitants de ces zones sont les marginaux. Ils font face à la marginalisation même dans les établissements scolaires par leurs camarades et parfois, même par leurs enseignants. En conséquence, Ce problème de socialisation scolaire incite un mini-conflit qui ultérieurement devient si grand, que cela devient une question d’honneur. De plus, les conflits entre les quartiers parfois envahissent dans ces établissements. Les jeunes veulent régler leurs comptes avec leurs ennemis de quartier.

Deuxièmement, la carte scolaire ne permet pas la démocratisation des institutions scolaires et cela s’oppose du fait que le gouvernement français est une démocratie. De plus, cela arrive que l’enseignant ait choisi le métier pour le rémunération et pas par la vocation. Donc, l’étudiant révolte pour montrer son mécontentement par rapport à système d’éducation et le gouvernement.

Pour conclure, il faut admettre que les zones sensibles sont une des racines de cette violence. Toutefois, c’est la société, le gouvernement et les instituions scolaires qui font de la discrimination et cela provoque cette forme de révolte. Aussi, les marginaux sont les «néo-français». Donc, est-ce qu’ils n’ont pas le droit d’avoir le même statut social comme les aborigènes ?

Wednesday, September 16, 2009

Pourrait-on vraiment trouver une solution durable afin de surmonter le problème de la sous alimentation ?

De nos jours, on constate la crise économique et la flambée des prix alimentaires. Pourtant ces problèmes économiques ont une conséquence néfaste «la crise alimentaire». Selon FAO (Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture, 1,2 milliard de personnes sont affectées par la sous-alimentation. Alors, pourrait-on vraiment trouver une solution durable afin de surmonter le problème de la sous alimentation ?

Premièrement, les problèmes climatiques, l’urbanisation et la pauvreté des paysans aussi suscitent la sous alimentation. L’état dépense autant d’argent dans l’urbanisation du pays que les développements des métiers agricoles s’effacent. De plus, les travaux agricoles ne sont pas assez rentables. Par conséquent les agriculteurs souvent changent leur métiers, ils émigrent aux villes afin de gagner plus d’argent et d’améliorer leur niveau de vie.

Deuxièmement, dans les pays sous-développés, la crise financière a encore aggravé la situation. Ils ne peuvent pas prêter l’argent pour le travail et donc, ils deviennent encore loin d’être développés. La sous-alimentation a aussi les conséquences physiologiques (malnutrition) et psychologiques.

Pour conclure, je dirais que la sous-alimentation concerne tout le monde et je partage l’avis de Dr Jacques Siouf (le directeur général de FAO) qui a dit «il faudrait un effort mondial, une détermination sans faille et des actions concrètes pour réduire le nombre des sous-alimentés.» D’après moi, la raison d’être d’un être-humain c’est d’aider l’un l’autre. Donc, je m’en doute qu’on peut trouver une solution durable afin de surmonter le problème de la sous alimentation mais c’est seulement la solidarité mondiale qui puisse nous mener vers la fin de ce problème.